Le Pic de Rochebrune
Point culminant du massif du Queyras, le Pic de Rochebrune domine Briançon du haut de ses 3321 mètres d'altitude. Son sommet difficilement accessible nécessite quelques pas d'alpinisme !
Première approche
Au départ du Col de l'Izoard, sans doute l'un des plus beaux cols routiers des Alpes, cette randonnée est en fait une course d'alpinisme. Moins longue que celle de l'Aiguille du Goléon qui était cotée F (facile), celle-ci est par contre cotée PD- (peu difficile moins) : on est donc un cran au-dessus en ce qui concerne la difficulté technique. L'itinéraire passe d'abord au Col Perdu puis redescend pour longer le pied de la face Nord de la Crête des Oules, pour arriver au Col des Portes. On attaque ensuite une montée physique dans une grande pente en éboulis, avant d'arriver au pied d'une brèche. L'itinéraire alterne alors entre vires et éboulis jusqu'au sommet de la brèche. Ensuite c'est la montée finale qui peut s'effectuer de différentes façons, mais quelle que soit l'option choisie, ce sera de l'alpinisme et non de la randonnée. Le casque est indispensable ! Le retour s'effectuera par le même itinéraire jusqu'au Col des Portes puis on passera encore au pied de la Crête des Oules, mais cette fois en face Sud. On arrivera alors au Lac de Souliers, puis à la Casse Déserte, avant de revenir enfin au Col de l'Izoard.
Le Pic de Rochebrune, vu depuis le Col Perdu.
Itinéraire à suivre
Avant de partir, assurez-vous bien de ne pas oublier votre casque. Personne ne vous dira quoi que ce soit si vous n'en avez pas, mais les pierres ont tendance à tomber toutes seules, même sans personne au-dessus ... Bref, une fois tout le matériel prêt, on peut prendre la route pour le Col de l'Izoard. Contrairement aux randonnées habituelles, celle-ci se situe assez loin de Valloire, en temps de route et géographiquement. Il faut 1h30 à 2h de route pour se rendre au lieu de départ : passer le Col du Galibier, redescendre sur le Col du Lautaret, redescendre toute la Vallée de la Guisane jusqu'à Briançon puis monter le Col de l'Izoard, tout ca prend beaucoup de temps ! Normalement il ne devrait pas y avoir de problème de stationnement au col, de grands parkings ayant été aménagés.
Le Col de l'Izoard, point de départ pour le Pic de Rochebrune.
On part donc en direction du Nord-Est, vers le Col Perdu, bien visible depuis le départ.
Le Col Perdu, vu depuis le Col de l'Izoard.
Ce col est rapidement atteint et offre une vue magnifique sur la suite de l'itinéraire, jusqu'au sommet.
Le Pic de Rochebrune, vu depuis le Col Perdu. On voit le chemin en bas à droite dans l'herbe et on le devine qui serpente au centre à droite dans les cailloux.
Depuis le Col Perdu il faut donc redescendre le chemin principal puis prendre celui qui part sur la droite au bout d'environ 100 mètres, pour rejoindre le chemin visible sur la photo précédente. Une fois sur place, la visibilité du sentier est très bonne et il est impossible de se tromper.
On va alors longer la face Nord de la Crête des Oules en laissant de côté la verdure pour entrer dans un monde minéral. Le chemin va mener droit au Col des Portes.
Entre le Col Perdu et le Col des Portes, le chemin est dominé par notre destination : le Pic de Rochebrune.
Plus on s'approche, plus ca monte !
Sous le Col des Portes le chemin est beaucoup moins net et se perd parfois au milieu des gros blocs de pierre. Des cairns sont là pour vous aider, et dans le pire des cas, faire cap sur le col vous mènera à bon port.
La partie finale avant le Col des Portes. A chaque pas on recule d'un demi pas avec les éboulis ...
Le Col des Portes s'atteint rapidement et on peut y faire une petite pause avant la partie physique de la montée.
Le Col des Portes, avec sa croix, son panneau et sa plaque commémorative pour le Lieutenant Pierre Martin, qui "s'est tué ici le 24 Août 1912".
La suite est simple, il faut monter ! Plus précisément se diriger vers la brèche que l'on voit à droite du sommet. La carte IGN n'indique pas de chemin, mais un pseudo-sentier et des cairns y mènent. Pour l'instant on est encore en "randonnée".
Le sommet du Pic de Rochebrune et la brèche bien visible sur sa droite. Si mes souvenirs sont bons, je suis passé sur la droite du gros rocher un peu plus sombre dans la montée.
Pendant l'ascension, si on se retourne on peut voir que la Crête des Oules qui semblait si haute depuis le Col des Portes se laisse vite dépasser. Cela donne une sensation de hauteur assez vertigineuse que l'on ne ressent pas du tout si l'on regarde dans les environs immédiats.
La Crête des Oules et le Col des Portes, vus en se retournant.
En se rapprochant de la brèche, on se rend compte qu'il y a comme une grosse tour en son centre. Le "chemin" arrivre sur la droite de cette tour, passe par une vire au pied de la tour et remonte vers le sommet de la brèche sur la gauche de la tour.
On voit bien la tour en bas de la brèche. Il faut donc se diriger vers sa droite (normalement la trace y va).
Au pied de la brèche, le chemin se verticalise encore un peu plus. C'est un bon endroit pour songer à mettre le casque si ce n'était pas déjà fait. En même temps, on peut voir que la Crête des Oules semble maintenant tellement petite ...
Le pied de la brèche, également le pied de la tour, bien visible au centre de la photo.
En se retournant, le Crête des Oules est très loin en bas.
On passe donc la tour puis on repart sur sa gauche pour rejoindre le sommet de la brèche.
Après la vire sur la tour au centre de la brèche, le chemin continue.
On arrive alors au sommet de la brèche et pour ceux qui n'auraient toujours pas mis leur casque, c'est maintenant ou jamais. On a alors plusieurs options, l'une d'entre elles étant plus évidente que les autres. Quoi qu'il arrive, c'est ici que commence l'alpinisme.
La première et la plus évidente consiste à se servir de la codre à noeuds pour grimper la paroi en haut de laquelle se trouve le sommet. Malheureusement la suite n'est pas si simple ... On se retrouve sur une paroi très verticale avec pas grand chose pour s'aider. On peut donc soit prendre une très étroite vire qui ramène vers la droite (en face Est) pour monter par des vires plus larges, soit suivre les spits (des fixations en métal dans la roche pour s'assurer avec du matériel d'escalade) et continuer d'escalader la paroi. Pour ma part, j'ai suivi les spits car sur l'étroite vire il fallait faire un pas assez accrobatique et exposé qui ne m'inspirait guère ...
La corde qui va vers les spits. Option de montée directe mais plus exposée.
En haut de la brèche, une autre option possible consiste à passer entre la montagne et un gros rocher coincé dans une sorte de cheminée. C'est par là que je suis redescendu. Cette option est sans doute la moins dangereuse. On rejoint ensuite les larges vires de la solution précédente.
La cheminée avec le gros rocher coincé. On passe sur la gauche du rocher. Ce n'est vraiment pas large !
La dernière option consiste à redescendre un peu de l'autre côté de la brèche pour contourner l'éperon rocheux de la cheminée au rocher coincé et remonter par le couloir de la face Est. C'est l'option la moins aérienne mais la plus exposée au chutes de pierres (une photo du haut du couloir se trouve un peu plus bas).
Etant passé par la corde puis les spits, je suis arrivé en haut des "larges" vires, juste sous le sommet. Je devrais d'ailleurs plutôt parler "des" sommets. En effet, si la carte montre bien deux sommets (un au Sud de la brèche à 3308m et un au Nord à 3321m, où l'on va), celui du Nord est en fait lui-même divisé en trois pointes : Sud, centre et Nord. Celles du Sud et du centre ont une antenne-relais à leur sommet. La plus haute est celle du centre. Après les spits on arrive donc en haut des larges vires, un peu en dessous de la pointe Sud du sommet Nord.
La montée en suivant les spits. On voit à quel point c'est vertical. Chute interdite !
Sous la pointe Sud du sommet Nord, on voit enfin la pointe centrale du sommet Nord, notre destinantion. On voit également la fin du couloir de la face Est, qui n'inspire pas vraiment confiance niveau stabilité.
En se trounant légèrement sur la gauche, on peu voir les deux antennes en même temps.
Il faut alors rejoindre la crête entre ces deux antennes puis atteindre le point culminant du Queyras en allant vers celle de la pointe centrale du sommet Nord.
La crête finale.
Une fois arrivé à l'antenne de la pointe centrale du sommet Nord, on est enfin au sommet du Pic de Rochebrune, le point culminant du Massif du Queyras à 3321 mètres d'altitude. On n'a alors pas volé une bonne petite pause repas ! Comme d'habitude, un petit tour d'horizon photographique s'impose (de la gauche vers la droite).
Au fond on voit les Ecrins et au premier plan le Col Perdu, qui masque le Col de l'Izoard.
Zoom sur les Ecrins. De gauche à droite on a : l'Ailefroide (3954 m), le Pic Sans Nom (3913 m) en noir à peine visible dans le nuage, le Mont Pelvoux (3943 m) bien visible avec son sommet enneigé et la Barre des Ecrins dans le nuage de droite, plus haut que les autres.
Zoom sur le Col Perdu.
Au fond au centre on voit les Aiguilles d'Arves, les Aiguilles de la Saussaz et l'Aiguille du Goléon sur leur gauche et l'Aiguille de l'Epaisseur et la Pointe de Pierre Fendue sur leur droite. Plus sur la droite, la Pointe des Cerces masque la suite du Massif des Arves, puis la Grande Chible réapparaît encore plus à droite. Sur la droite de la photo, la montagne un peu rougeâtre n'est autre que le Mont Thabor. Enfin, on voit la Vallée de la Guisane au centre de la photo.
Zoom sur les montagnes citées précédemment. Entres les Aiguilles d'Arves de droite, on voit également le Grand Galibier.
Zoom sur la Vallée de la Guisane.
Zoom sur le Mont Thabor. Au premier plan on voit également le Col des Thures et sur la droite la Roche Bernaude.
Un peu plus sur la droite. On retrouve le Mont Thabor sur la gauche de la photo et on devine le Mont Blanc à un tiers du bord droit de la photo sur la ligne d'horizon.
Le Mont Blanc est cette fois sur le bord gauche de la photo. L'Italie se trouve juste derrière la crête du premier plan (Sestrière est dans l'une des vallées sur la gauche de la photo).
Au centre de la photo (juste sous la ligne d'horizon) on a le Petit Pic de Rochebrune.
Au centre dans les nuages, le Mont Viso. Vers le bord droit de la photo on voit également Molines-en-Queyras. Au-dessus du village la vallée se sépare en deux : la vallée de gauche va vers le Col Agnel (2744 m, troisième col routier le plus haut des Alpes, derrière l'Iseran (2764 m) et le Stelvio (2758 m)), tandis que celle de droite va vers Saint-Véran (2040 m, plus haute commune d'Europe).
L'antenne de la pointe Sud du sommet Nord et le sommet Sud en bas à gauche de la photo. Guillestre se trouve dans la vallée juste sous l'horizon, près du bord droit de la photo.
Retour vers le Massif des Ecrins (sur la ligne d'horizon, à droite de la photo). En bas au centre on retrouve la Crête des Oules. Si on regarde bien sur la gauche de cette dernière, on aperçoit un petit lac. C'es le Lac de Souliers, auprès duquel on va passer lors du retour.
Zoom sur le Lac de Souliers.
En bas, en direction du Col Perdu (que le voit en haut de la photo), se trouve la Casse des Oules, restes d'un ancien (il me semble) glacier rocheux. Pour ceux qui seraient intéressés par ce genre de glaciers, il en existe un très connu non loin de la Combe de Laurichard.
Après une bonne pause pour bien profiter de cette vue amplement méritée, il faut tout de même se résoudre à quitter le sommet ... Décision doublement difficile à prendre : pas envie de laisser cette belle vue derrière nous peur de ce qui nous attend à la descente !
Pour redescendre j'ai rejoint la crête entre les deux antennes puis j'ai pris le "chemin" qui serpente dans les éboulis (la montée du "couloir"). J'ai quitté ce chemin en tombant sur une vire qui m'inspirait plus confiance que les autres et qui se dirigeait vers le haut de la brèche. Je suis alors arrivé (sans le faire exprès) à la cheminée avec la grosse pierre coincée.
Le début de la redescente, dans les éboulis. Attention, ça part tout seul !
La vire qui ramène vers la cheminée avec la grosse pierre coincée.
Une ligne de roches coupe la vire en deux, la cheminée est sur la droite.
Une fois sur la grosse pierre coincée, deux options sont possibles : soit prendre la (mini) vire qui ramène au-dessus de la corde à noeuds, soit passer dans le trou sur le côté de la pierre. La première option est réservée à des randonneurs ayant l'habitude de l'alpinisme, une éventuelle chute pouvant mal se terminer. L'autre option est quant à elle interdite aux gros ... J'ai choisi de me faufiler (non sans mal) entre la pierre et la cheminée.
Le trou à droite de la pierre. Mon pied donne une idée de la taille du passage. Il faut évidemment passer sans son sac (dans l'idéal on passe avant le sac si on veut éviter qu'il ne tombe quelque part où il serait particulièrement stupide d'essayer de le récupérer ...).
Allez, les deux jambes d'abord et c'est parti !
On rejoint alors le sommet de la brèche et il ne reste plus qu'à redescendre sur le Col des Portes par l'itinéraire de la montée.
Redescente de la brèche, juste avant de revenir à la grosse tour. En bas on peut voir la Casse des Clausins (probablement un ancien glacier rocheux elle aussi) et en haut à droite, le Lac de Souliers, notre prochaine étape après le Col des Portes.
La vire qui passe au pied de la grosse tour.
Après la grosse tour, dans la pente qui redescend de la brèche vers le Col des Portes. On voit bien de part et d'autre de la Crête des Oules, la vallée par laquelle on est arrivé à droite et celle par laquelle on va rentrer, à gauche.
Regard en arrière sur la brèche lors de la redescente.
Enfin presque de retour au Col des Portes.
Au Col des Portes, plutôt que de rentrer par le même itinéraire qu'à l'aller, on va passer au Sud de la Crête des Oules. Cela rallonge un peu, mais le détour en vaut vraiment la peine. On va donc redescendre vers la Casse des Clausins (donc la pente de gauche quand on vient du sommet), tout en visant l'herbe qui semble la plus proche.
Il faut se diriger vers la "tache" d'herbe qui se situe au tiers du bord supérieur de la photo et au tiers du bord droit.
Après une descente assez fatiguante dans les éboulis, on rejoint enfin l'herbe et une sente serpente le long de la face Sud de la Crête des Oules, à la limite éboulis / herbe.
De retour dans la verdure. Il faut longer la face Sud de la Crête des Oules au niveau de la limite éboulis / herbe.
En se retournant, le sommet paraît bien loin maintenant ...
Après avoir marché un certain temps avec l'impression d'être seul au monde, on contourne l'éperon rocheux qui descend du Pic Est de la Crête des Oules, puis on tourne plein Ouest pour arriver en vue du Lac de Souliers. Dans le même temps, on perd de vue le Pic de Rochebrune. En chemin, on rencontre de nombreuses edelweiss.
Une des très nombreuses edelweiss le long de la face Sud de la Crête des Oules.
Juste après l'éperon rocheux qui descend du Pic Est de la Crête des Oules, on voit le Lac de Souliers (ici juste au-dessus de la limite ombre / lumière, donc difficilement visible sur la photo ...). On voit également que le sentier devient beaucoup plus marqué.
Dernier regard sur le Pic de Rochebrune avant qu'il ne disparaisse derrière la Crête des Oules.
Autour du sentier qui mène au lac se trouvent de nombreux petits conifères, ce qui fait une ambiance très "Alpes du Sud" par rapport à ce que l'on peut voir habituellement sur Valloire. Le Lac de Souliers s'atteint rapidement.
Le Lac de Souliers, presque en forme de cercle parfait.
On quitte ensuite le lac par le chemin qui part vers le Sud, visible dans la partie ensoleillée de la photo précédente. Après un premier croisement où il faut prendre à droite (croisement du Vallon), l'itinéraire va alors nous conduire vers la route qui passe à la Casse Déserte par un sentier encore plus typé "Alpes du Sud" que le précédent, entre de grands conifères, éboulis et herbes rases.
Le chemin qui redescend du Lac de Souliers. En haut à droite, on voit le Pic du Béal Traversier (2910 m).
Le croisement du Vallon, où il faut continuer sur la branche de droite du chemin (qui semble plus aller tout droit que sur la droite d'ailleurs ...).
La forêt après le croisement du Vallon.
Bel effet de l'enchevêtrement des racines d'un arbre le long du chemin.
La suite de la forêt avant d'arriver à la route.
En arrivant à la route, on a une très belle vue sur la Casse Déserte et le Col de l'Izoard. Avant de continuer la randonnée, une petite pause contemplative s'impose.
Traversée de la route au niveau de la Casse Déserte. La suite du chemin est cachée par les deux voitures de gauche sur la photo.
Les Monolithes de la Casse Déserte.
Juste au-dessus, les éboulis qui donnent cette athmosphèse si particulière au Col de l'Izoard.
Au fond, le Col de l'Izoard, baigné des derniers rayons de Soleil de la journée.
Le fond de la vallée, par où notre itinéraire va passer.
On continue donc notre chemin en direction du fond de la vallée, jusqu'au Torrent de l'Izoard.
Début de la descente, juste après la route.
Au fond de la vallée, on traverse le cours d'un torrent qui peut ou non être à sec et on retrouve le sentier du fond de la vallée, qui remonte jusqu'au Col de l'Izoard.
On serpente alors au fond de la vallée entre d'immenses blocs de pierre troués.
Au fond de la vallée, juste à côté du Torrent de l'Izoard.
Un des blocs de pierre troués.
Le sentier remonte progressivement vers le Col de l'Izoard et sur la fin coupe quatre fois la route.
Un des croisement entre le sentier et la route, qui marquent la fin imminente de la randonnée.
On est alors enfin de retour au Col de l'Izoard, après une bonne journée de marche / alpinisme et des souvenirs plein la tête.
Retour au Col de l'Izoard.
Ainsi s'achève cette course d'alpinisme, assez loin de Valloire mais avec tout de même une belle vue sur l'ensemble des montagnes que l'on a l'habitude de parcourir. En effet, il n'y a pas beaucoup d'autres itinéraires (présentés sur ce site) depuis lesquels on peut avoir une vue globale sur toutes les montagnes que l'on côtoie à Valloire. La Pointe d'Arcalod, point culminant du Massif des Bauges (2217 m), est un autre exemple de randonnée offrant ce type de vue. Valloire est presque au centre entre ce sommet et le Pic de Rochebrune.
Profil altimétrique
Tracé de la rando
Informations rando
Durée
7h 15min
Distance
15.21 km
Dénivelé
1362 m
Altitude max
3321 m
Altitude min
2079 m
Secteur
Col de l'Izoard
Massif
Queyras
Engagement
Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement
Exposition
Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement
Niveau physique
Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement Logo Engagement
En famille
NON
Restrictions
Attention, ici on parle bien d'alpinisme et non de randonnée. Le danger est réel. Un casque est nécessaire pour se protéger des éventuelles chutes de pierres. Il faut également être très prudent et vigilant durant toute la phase d'escalade finale.
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